La mission de l’ Organisation internationale pour les Migrations (OIM) du Burkina Faso en collaboration avec l’Organisation des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) ont organisé du 25 au 26 mai 2021 un atelier de réflexion sur un document de stratégie de communication proposé par l’Association Générations Lumières dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Appui à la prévention des risques de détérioration de la cohésion sociale et de la paix dans le contexte de la riposte à la COVID-19 aux points d’entrée et dans les lieux de détention au Burkina Faso ». Les travaux se sont déroulés dans la salle de conférences de l’hôtel Ramada à Ouagadougou.
L’objectif de l’atelier consistait pour les participants à travailler à améliorer le contenu du document soumis à leur réflexion par l’Association Générations Lumière de telle sorte à assurer la visibilité du projet et à terme, permettre d’atteindre le résultat escompté à savoir promouvoir un réel changement de comportement des groupes cibles du projet face à la COVID-19.
Après le mot de bienvenue du chargé de projet, M. Innocent Kokou, suivi d’une présentation du projet et du document de stratégie de communication, les participants ont été répartis en groupes de travail au sein desquels ils ont échangé sur les activités de communication proposées. Ces discussions qui ont été menées sur différentes thématiques ont permis de :
– identifier les problèmes de communication ;
– définir les contenus de messages de communication sur le projet ;
– présenter les objectifs et les cibles des activités de sensibilisation du projet
– identifier les supports et canaux de communication des activités de sensibilisation ;
– identifier des outils de suivi de l’impact des actions de sensibilisation.
Financé par le Fonds de Consolidation de la Paix des Nations Unies, le Projet « Appui à la prévention des risques de détérioration de la cohésion sociale et de la paix dans le contexte de la riposte à la COVID-19 aux points d’entrée et dans les lieux de détention au Burkina Faso » vient en appui aux efforts du Gouvernement du Burkina Faso dans sa réponse face à la pandémie COVID-19 et ses impacts socioéconomiques.
Cet appui proposé par l’OIM et l’ONUDC s’appuiera sur le renforcement des capacités de gestion sanitaire des points d’entrée et la mise en place d’un dispositif pour assurer la continuité de la justice pénale avec une gestion efficace des lieux de détention.
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